La journalitse et conjointe du chroniqueur Richard Martineau, Mme Sophie Durocher a publié un article ce matin dans le Journal de Montréal qui parle de de la tenue porté à l'ADISQ 2017 par la chanteuse, Safia Nolin.

Déjà nous pouvons lire, aujourd'hui, sur le compte Twitter de la journaliste:

<< À ceux qui disent que Safia Nolin "peut ben s'habiller comme a veut": iriez-vous à un enterrement en maillot de bain ? >>

Une comparaison assez particulière!

Dans sa chronique du journal de Montréal, elle écrit:

<< Misère, on a compris qu’elle ne veut pas se soumettre aux diktats de la mode. Mais avait-elle besoin de s’accoutrer comme un personnage de la comédie musicale Les Misérables ? >>

Une autre comparaison, on dirait que notre chère Safia inspire beaucoup d'imagination.

Elle ajoute également:

<< Était-ce nécessaire que l’animatrice Claudine Prévost du tapis rouge s’extasie en lui lançant qu’elle était « vraiment magnifique » ? Voyons, Claudine, trop c’est comme pas assez. Tu dis à une chanteuse qui porte une robe du soir scintillante qu’elle est magnifique et tu dis à Safia Nolin aux cheveux gras et aux vêtements en loques qu’elle est aussi magnifique ? >>

Le fait de ne pas appartenir au standard préétabli n'est pas une raison qu'elle ne soit quand même pas magnifique? 

Les internautes des réseaux sociaux ont commenté les propos de Mme Durocher que plusieurs semblent avoir trouvés dérangeants:

<< ...t'as rien compris on est pas belles pour nos vêtements ont est belles parce que toutes les femmes sont belles c'est ça qu'on essaye d'apprendre au jeune fille à l'école non?... >>

<< Je ne comprendrai jamais les gens qui prennent le temps et l'énergie pour écrire des commentaires haineux, dégradants et inutiles. Que Safia décide d'être comme elle est ne devrait en aucun cas déranger qui que ce soit. Ça ne regarde personne d'autre qu'elle... >>

<< Pour ma part le dicton: l'habit ne fait pas le moine est vrai dans son cas. Elle veux démontrer qu'il n'est pas nécessaire d'avoir des vêtements coûteux pour avoir du talent. Je suis déçue de vos commentaires . Dans une société où tous les jours on dénonce l'intimidation. >>

 Je crois qu'il faut se demander réellement si il y a des limites à ne pas franchir?

Sources: Journal de Montréal, Twitter de Sophie Durocher